"Le comédien mis au défi de ce texte oscillant entre rires et larmes s'appelle Azzeddine Benamara. (...) l'impasse où sont coincés ceux qui choisissent de vivre en toute liberté dans l'Algérie d'aujourd'hui est d'emblée terrifiante."
TELERAMA
Le Soleil juste Après
Faim !
Mercredi 12 novembre à 19h30 / Espace 600, Grenoble - Réservation : 04 76 29 42 82
Spectacle suivi d'un débat animé par Martial Poirson, directeur de recherche au CNRS
Vendredi 14 novembre à 20h30 / Cinéma-Théâtre, La Mûre (en co-accueil avec le Cinéma-Théâtre de La Mure) - Réservation : 04 76 30 96 03
Attention, nombre de places limité - réservation recommandée
Moussa est l’unique préposé à la morgue de l’hôpital de BalBala, petit bourgade où il fait « bon mourir ». Du matin au soir, il fait la causette aux morts tout en les lavant. Sur les conseils de son ami Aziz, journaleux-bloggeur ou « cyberzorro », il enregistre alors dans un magnétophone tout ce qui lui passe par la tête pour en faire petit à petit une véritable autopsie de l’Algérie contemporaine. Avec pour scalpel l'humour et la dérision, la pièce part ainsi de l’intime pour parler de l’Algérie d’aujourd’hui. Soulever la question des immolations par le feu complètement passée sous silence et donner à entendre l’histoire de ces jeunes qui se livrent à un tel acte. Une parole de colère, mais aussi une parole poétique, qui nous pousse à voir autre chose que la violence de ce geste extrême. Pour essayer de comprendre.
Auteur : Mustapha Benfodil Adaptation et mise en scène : Kheireddine Lardjam Comédien : Azeddine Benamara Scènographie : Estelle Gautier Création lumière : Manu Cottin Création son : Pascal Brenot Administration de production : Lucile Burtin Coproduction : l’ARC scène nationale Le Creusot / Conseil régional de Bourgogne/ Conseil général de Saône et Loire Avec le soutien de : Scènes du Jura scène nationale, Institut français en Algérie et la DRAC Bourgogne
"Le comédien mis au défi de ce texte oscillant entre rires et larmes s'appelle Azzeddine Benamara. (...) l'impasse où sont coincés ceux qui choisissent de vivre en toute liberté dans l'Algérie d'aujourd'hui est d'emblée terrifiante."
TELERAMA